Sur la Peau de l’Eau

 

Le lac resta un moment sans rien dire. Puis,

Je pleure pour Narcisse, mais je ne m’étais jamais aperçu que Narcisse était beau.

Je pleure pour Narcisse parce que, chaque fois qu’il se penchait sur mes rives, je pouvais voir, au fond de ses yeux, le reflet de ma propre beauté.

Oscar Wilde cité par Paolo Coelho dans « L’Alchimiste »